Conseil infrastructures secteur privé

Edifice Capital Group conseille les acteurs du secteur privé dans leur stratégie d’investissement dans les infrastructures et notamment dans le secteur de l’énergie et de la santé.

En Europe

ACOFI

ACOFI est un groupe de services financiers indépendant spécialisé dans la conception, la gestion et la distribution de véhicules d’investissement pour compte de tiers.
L’expertise d’ACOFI en matière de gestion d’actifs s’articule principalement autour de deux expertises, la gestion d’Actifs Réels et les prêts direct à l’économie. Ces expertises recouvrent 4 grandes thématiques :

  •  L’immobilier d’entreprises,
  •  Les infrastructures,
  •  Le financement spécialisé des entreprises industrielles,
  •  Le secteur public hors Etat.

La Française et ACOFI ont signé un accord stratégique pour investir ensemble dans les activités de prêts directs développées par ACOFI Gestion.

La Française et ACOFI ont signé un accord stratégique de long terme pour investir ensemble dans la création d’un acteur majeur dans le domaine des prêts directs à l’Economie au service des grands investisseurs et investisseurs institutionnels.

La Française AM est un groupe de gestion d’actifs détenu à 86% par le Crédit Mutuel Nord Europe, issu du rapprochement, en 2009, des activités de La Française des Placements, société entrepreneuriale, et d’UFG-IM. La Française est notée « High Standards » par FitchRatings (août 2014)

Forte de ses 480 collaborateurs, la Française gère plus de 45 milliards d’euros d’actifs (dont 10 Mds€ en immobilier) à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hong-Kong, Londres, Luxembourg, Madrid et Milan.

L’énergie

Bandeau énergie

 

Les moteurs de croissance structurels en Afrique soutiennent une demande massive en énergie
  • Le besoin en investissements dans le secteur de l’énergie est estimé à environ 42,5 milliards de dollars par an (BAD).
  • Les relais de croissance:
    • La croissance démographique: la population africaine est amenée à doubler au cours des 40 prochaines années (passant de 1 à 2 milliards). En 2050, elle représentera 50% de la population mondiale.
    • La croissance de la classe moyenne, atteignant plus de 250 millions de personnes d’ici à 2040.
    • L’urbanisation : la population urbaine atteindra 800 millions de personnes d’ici 2050.
    • L’industrialisation
    • L’accélération de la croissance du PIB avec un taux de croissance annuel de 6,2% environ,
    • Le développement commercial international (multiplié par 7 dans les 30 prochaines années),

Les besoins en matières de production et de transport sont nécessaires pour soutenir l’émergence à long terme de l’Afrique et le développement de l’agriculture, de l’industrie, des transports et des infrastructures de l’eau mais aussi des infrastructures sociales (santé, éducation, etc.).

Pourquoi investir dans le secteur de l’énergie en Afrique?

Les infrastructures :

  • C’est une classe d’actifs qui offre un rendement stable sur l’investissement initial aussi longtemps que l’infrastructure répond à la demande économique et sociale.
  • Elles ont une faible corrélation avec les autres classes d’actifs et résistent aux cycles économiques.
  • Elles offrent une protection contre l’inflation et les cycles économiques (ajustement de l’inflation sur les revenus, possibilité de couvrir le risque de taux de change)
  • Elles présentent un faible risque de perte en capital : contrats publics ou public-privé / soutenus par des garanties (avec la possibilité de couvrir les risques pays via la MIGA, l’OPIC, la Coface …)
  • Elles offrent des revenus à long terme permettant d’assurer une valeur de sortie.

Le secteur de l’énergie en Afrique :

  • Le secteur de l’énergie en Afrique offre une forte croissance en raison de la demande massive.
  • L’énergie est une ressource primaire avec des besoins à long terme : un secteur énergétique national efficace et  à grande échelle, est nécessaire pour développer l’agriculture, l’industrie et d’autres secteurs d’infrastructures comme les transports ou l’eau
  • Le sous-secteur de la production comporte généralement des accords d’achat d’électricité à long terme (PPA) avec les gouvernements , les entreprises de service public locales ou les groupes industriels. Ceci permet d’améliorer la bancabilité des projets et de sécuriser les revenus.
  • Le secteur de l’énergie en Afrique offre un très grand nombre d’opportunités, une faible corrélation avec le PIB et  une bonne couverture contre l’inflation
  • Enfin, les actifs du secteur de l’énergie ont généralement une liquidité supérieure à la moyenne
Le conseil en stratégie d’investissement : une stratégie de diversification à travers la chaîne énergétique
  • La production :
    • Les centrales thermiques (carburant, gaz, charbon, tourbe …) mais aussi les centrales transférées. Les centrales à gaz seront favorisées du fait de leur plus faible empreinte carbone.
    • Les énergies renouvelables: les centrales hydroliques (petites et moyennes et grandes), les fermes solaires, les éoliennes (marché de niche en Afrique étant donné les coûts élevés), la biomasse (option possible si cela n’entre pas en conflit avec la chaîne alimentaire)
  • La transmission et la distribution
  • Le carburant et le stockage de gaz

Edifice Capital Group développe des projets répliquables permettant une réduction des coûts de développement et des économies d’échelle, notamment dans les secteurs suivants :

  • Les centrales thermiques pour faire face aux besoins importants en électricité de base (que l’éolien et le solaire ne peuvent pas offrir) avec un accent sur le gaz
  • Les petites et moyennes centrales hydrauliques étant donné les potentialités importantes en l’Afrique, leur faible coût, leur faible impact environnemental et leur rapidité en temps de développement.

 

La Santé

Bandeau santé

 

Développer des solutions de santé privées en Afrique : une réponse pour faire face aux besoins sociaux

Les pays africains connaissent un changement sociétal majeur avec l’émergence d’une classe moyenne supérieure qui peut accéder aux services médicaux offerts par le secteur privé. Il existe donc un marché réel et en forte croissance pour des services de santé répondant aux standards internationaux, dans la plupart des capitales africaines.

Des services médicaux pour tous : pour avoir un véritable impact social, les services médicaux en Afrique doivent être ouverts au plus grand nombre, y compris aux communautés à faible revenu.

La collaboration avec les donateurs et les IFD : les institutions dédiées au financement du développement, les fondations et les donateurs se mobilisent sur la question des prestations de services médicaux ouverts au plus grand nombre, y compris aux populations à faible revenu. Plusieurs initiatives de multi-donateurs réunissent des financements importants sur cette question cruciale. Une collaboration forte et de grande envergure avec les IFD mais aussi les fondations privées doit être développée afin d’élargir le champ de leurs ressources, de leurs connaissances et de créer des synergies.

Pourquoi investir dans les infrastructures de santé en Afrique?

La demande de services de santé est très importante en Afrique et nécessite, à son tour, une infrastructure moderne pour fournir des services santé aux standards internationaux.

Le transport est un des composants principaux dans le calcul du coût des dépenses de santé en Afrique : les Africains dépensent plus d’argent dans les transports aériens que dans les services médicaux en eux-mêmes.

Il ya donc un marché très important pour les services de santé locaux, à des prix de marché.

Cette demande est motivée par la croissance impressionnante de la population africaine. Elle est également soutenue par la capacité de la classe moyenne émergente à consommer des services de santé modernes à des prix de marché.

L’émergence de l’Afrique ne peut pas être durable sur le long terme si la majorité de la population est privée de services de santé de qualité et doit voyager à l’étranger pour y avoir accès.

La santé est un des secteur où des partenariats public-privé innovants peuvent être développés, avec la plupart des revenus provenant de fonds privés (revenus personnels des patients, les assurances de santé privées, etc.) afin d’assurer la rentabilité, avec des subventions publiques pour les populations les plus pauvres et développer l’ancrage social.

De nombreux pays africains développent des programmes de système national d’assurance maladie et de sécurité sociale destinés à couvrir les besoins de la plus grande partie de la population.

Stratégie de conseils en investissement :
Diversification et approche novatrice
  • Une couverture géographique continentale incluant tous les pays africains, y compris l’île Maurice et Madagascar.
  • Une stratégie d’investissement mixte et équilibrée :
    • Des projets de taille moyenne en PPP / PFI : des projets conduits par les acteurs publics, le secteur privé prenant en charge la conception, la construction, l’équipement, la gestion, l’exploitation et la maintenance de l’infrastructure pour un paiement public partiel sur le long terme (jusqu’à 20 ans) et / ou une forte participation du public (d’investissement direct dans la SPV / garantie / subvention);
    • Plusieurs portefeuilles de projets de taille réduite duplicables en Private Equity et développés par des holdings dédiées : de « petits » projets privés pour lesquels la rentabilité est assurée par des fonds privés et avec la possibilité de développer un aspect social; le développement de « projets duplicables» sera assuré par des sociétés holdings spécifiques, permettant ainsi la mise en commun des ressources, le développement parallèle de projets similaires dans plusieurs pays, les économies d’échelle et des opportunités intéressantes de stratégie de sortie (des sociétés holding bénéficiant d’une participation au capital de chaque projet développé ; les premiers projets peuvent être développés rapidement en Equity /quasi-Equity (sans dette).
Une approche innovante :

Des investissements initiaux dans des sociétés holding : un faible montant de capital sera investi très en amont du projet (capital développement), afin de couvrir les coûts de développement du portefeuille de projets très soigneusement sélectionnés, générant ainsi, au closing, le remboursement des frais de développement et une participation au capital de la SPV.

Des opportunités « Greenfield » avec des contrats à long terme garantis par des titres privés ou publics avec une importante valorisation de sortie (une fois le projet opérationnel).

Des opportunités « Brownfield » sur des actifs existants nécessitant un financement supplémentaire pour la mise à niveau ou les extensions et l’inclusion d’un réseau régional de projets similaires, générant un retour sur investissement rapide et un rendement immédiat dans les premières années.

Equity et quasi-equity avec effet de levier

Le financement en capital et quasi-capital :

  • Capital,
  • Dette actionnaires,
  • Obligations convertibles,
  • Dette mezzanine donnant accès au capital.

Des instruments de la dette mezzanine permettant :

  • Une sécurisation fournie par les accords entre créanciers, co-signés avec les prêteurs,
  • Des retours sur investissement élevés grâce à :
    • Un instrument financier qui optimise le financement du projet en offrant un produit de dette moins coûteux qu’un investissement en capital pur – améliorant la rentabilité du projet pour l’ensemble des acteurs.
    • Les taux d’intérêt de marché élevés dans plusieurs pays africains sur la dette mezzanine (au moins> 15% par an)
    • Des opportunités de structuration financière innovante du projet qui améliorent le TRI de la dette
    • Des opportunités pour structurer certains instruments convertibles (obligations convertibles, actions privilégiées rachetables, etc.) permettant l’accès au capital et optimisant la stratégie de sortie.
Une stratégie diversifiée avec différents types, tailles et spécialisations de projets

Des centres de santé :

  • Centres de diagnostic
  • Centres de dialyse
  • Centres spécialisés : mère et enfant, cardiologie, etc.

Des « Hubs » régionaux spécialisés

  • Concentration de savoir-faire et de compétences spécialisées dans les capitales régionales afin d’attirer la population de toute la région, avec des possibilités de «sites satellites» dans les villes secondaires;
  • Objectif : réduire le «tourisme médical» des africains hors du continent et développer entre les pays africains une approche régionale / spécialisation.
Collaboration avecdes groupes de santé internationaux de premier plan
  • Des projets de santé développés en Afrique, en étroite collaboration avec les hôpitaux internationaux de haut niveau ou des groupes de soins de santé, pour favoriser les transferts de savoir-faire et la mise en œuvre des normes / procédures internationales dans la réalisation d’infrastructures de santé, offrant des services médicaux de niveau international.
  • Le fort développement de la télémédecine avec l’objectif de réduire les coûts de déplacement, de renforcer les échanges de données médicales et de bénéficier de l’expertise de spécialistes de haut niveau basés sur le continent africain, mais aussi en Europe ou aux États-Unis.
Une forte dimension de responsabilité sociale

Collaboration avec les gouvernements africains et les organisations nationales et régionales de santé

  • Assurer un ancrage national;
  • Partenariat avec les gouvernements qui joue un rôle clé dans les projets de PPP : investisseur, facilitateur, fournit une garantie publique …
  • Des projets cohérents avec la stratégie nationale / régionale de santé et les besoins des populations.

Les partenariats avec les régimes de sécurité sociale nationaux et les groupes d’assurances privés :

  • Des infrastructures accessibles au plus grand nombre et pas seulement aux populations les plus aisées.
  • Assurer une subvention de l’Etat aux personnes qui n’ont pas les moyens de payer les prix du marché
  • Les partenariats avec les groupes d’assurances privés pour sécuriser une grande partie des revenus et réduire le pourcentage de personnes qui paient par elles-mêmes.
  • Objectif global: réduire le « risque de trafic », c’est à dire le paiement par les individus, les familles, etc.
  • Les partenariats avec des fondations internationales impliquées dans des projets de santé en Afrique
  • La fourniture d’infrastructures médicales à des fondations internationales développant de vastes programmes de prévention, conduisant ainsi à la diversification des revenus.
  • Développer l’impact / RSE dimension sociale et donc réduire fortement le risque souverain.
  • Les impacts positifs : l’image / la communication issues de ces collaborations.

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